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LOU ✗ You are nothing more than a thief and a whore

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B. Lou Fitzgerald

B. Lou Fitzgerald


▲ avatar : Robbie Wadge
▲ âge du perso : 21
▲ profession : Prostitué.
▲ messages : 189
▲ localisation : In a fucking wonderland.




MessageSujet: LOU ✗ You are nothing more than a thief and a whore LOU ✗ You are nothing more than a thief and a whore EmptyJeu 23 Aoû - 19:27


BAMBI LOU FITZGERALD



♪ J'me présente, je m'appelle Henry . . . ♪



© Frenchadicted
Salut, je m'appelle Bambi Lou Fitzgerald. Je suis né le 11/01/1991 dans une famille pauvre à Memphis, j'ai donc vingt-et-un ans. Je travaille comme prostitué et ce depuis six ans. Je suis célibataire et je suis homosexuel. Je fais partie de dans la foule qui dérive et on me dit souvent que je suis le sosie de Robbie Wadge.


♪ Je te veux toi, j'veux pas un faux, Pas de contrefaçon ♪


Bambi, c’est quelqu’un qui peut se montrer affreusement gamin, avec une façon d’agir assez spéciale, par moment. Tout comme il peut sembler affreusement réaliste et adulte. Du moment qu’il arrive à obtenir ce qu’il veut. Il n’est pas généralement pas méchant. Sauf quand ça va mal dans sa tête. Il peut se montrer aussi froid qu’affectueux. Peut-être qu’il souffre d’un quelconque trouble de la personnalité qui se manifeste de façon chronique. Peut-être. Personne ne cherche vraiment à s’en préoccuper, de toute manière. C’est un garçon relativement naïf, et il se fait avoir très facilement. Il n’en a pas vraiment conscience, et sa lui apporte souvent des problèmes, que ce soit avec les flics ou les autres. Il est d’une innocence particulière, liée à sa naïveté. Il a souvent tendance à penser que le monde est bon, le monde est gentil. Et généralement, il se rend compte qu’il est, une fois de plus, tombé sur la mauvaise personne qu’une fois qu’il est à moitié laissé pour mort au milieu d’une rue … Il a tendance à pleurer facilement, et ne supporte pas qu’on l’abandonne. Dans ses moments de panique, il lui arrive souvent de gémir et de s’exprimer uniquement à l’aide de cris, ce qui le fait régulièrement passer pour un débile. Ou un taré. Peut-être est-ce le cas, après tout. Il est relativement niais, également. En même temps, on ne peut pas combler un manque cruel d’éducation en trois années …

♪ Mais qui êtes-vous, belle inconnue ? ♪


Prénom/Pseudo : Bad.Blood
Age : Seize ans.
Présence (approximative) : Environ cinq jours sur sept.
Double-compte ? Si oui, le(s)quel(s) ? Nope !
Comment est-tu arrivé ici ? Been, en fait, avant, c’était un projet qu’avait Laura et qui .. J’raconte toute l’histoire ?
Comment trouves-tu le forum ? Baan, j’sais pas si mon avis il vaut vraiment, en fait .. xD
Un dernier mot ? D’abord, Bambi, il est gentil.

Image (c) Tumblr



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B. Lou Fitzgerald

B. Lou Fitzgerald


▲ avatar : Robbie Wadge
▲ âge du perso : 21
▲ profession : Prostitué.
▲ messages : 189
▲ localisation : In a fucking wonderland.




MessageSujet: Re: LOU ✗ You are nothing more than a thief and a whore LOU ✗ You are nothing more than a thief and a whore EmptyJeu 23 Aoû - 19:48



Écris l'histoire, dans ma mémoire,

mais n'écris jamais la fin . . .








♪ La vie est un grand cabaret et j'adore ce cabaret ♪





C’est l’histoire d’un petit garçon qui court dans les rues. Qui court, qui court, sans jamais s’arrêter. Comme si derrière lui, c’était le monde qui s’effondrait. Comme si demain, tout était terminé. Il semble effrayé. Perdu. Il essaye de fuir. De fuir cette maison qu’il déteste, de fuir cette maison qui l’entrave. Il sait que si on le retrouve, c’est terminé. Il n’aura pas le droit à une seconde chance. Et soudain, d’un coup, il trébuche, et ce sont ses propres jambes qui s’effondrent sous son corps maigrichon de petit garçon. Il pleure, parce qu’il sait que c’est terminé. Il va le retrouver, c’est sûr. Il va venir le chercher. Il remarque à peine qu’une voiture s’est arrêtée. Il entend des gens en uniforme qui lui parlent. Il tourne la tête vers eux, mais il ne répond pas. Parce qu’il a appris à ne pas parler aux inconnus. Parce qu’il a appris que le silence le sauverait plus que s’il osait dire ce qu’il avait. Il monte quand même dans la voiture, parce qu’il a appris à obéir sans rien dire. Parce qu’il a peur des représailles. Même si ces gens-là semblent gentils. Il a écrit son nom sur un bout de papier, quand ils le lui ont demandé. Propre. En lettres capitales. Comme lorsqu’il allait à l’école. Le plus jeune des deux messieurs l’a pris sur ses genoux. Il lui a offert une glace, qu’il mange tranquillement. Bien que le petit garçon ait un peu peur qu’il la lui reprenne. On ne sait jamais. Soudain, il entend des pas. Il lève la tête, par curiosité. « Bambi ? Ton papa est venu te chercher. » Lorsque le petit garçon aperçoit le nouveau visage qui se dessine dans l’embrasure de la porte, il ne parvient pas à retenir les larmes qui lui montent aux yeux. C’est terminé. Il ne parvient pas à retenir le hurlement qui lui déchire la gorge quand son père l’attrape. Il ose espérer, encore. Peut-être qu’il lui reste une chance. Il refuse d’avancer, il essaye de planter ses petits pieds dans le sol. Mais c’est sans effet, surtout lorsque l’homme l’attrape dans ses bras, profondément énervé. Il pleure, le garçonnet. Mais il ne crie plus. Parce qu’il sait que c’est terminé. Il sait ce qu’il va se passer. Alors, il attend, les larmes aux yeux. Il regarde le bâtiment qui s’éloigne par la fenêtre de la voiture, qui prend la route de la maison. Il ferme les yeux. Pour oublier. Il entend la porte de la voiture qui s’ouvre, et il sent son père qui le l’extirpe violement de l’habitacle. Le petit ne dit rien, osant encore espérer que la situation pouvait s’améliorer. Lorsqu’il entre dans la maison, il le remarque tout de suite. L’autre. Il ne l’aime pas beaucoup. Mais son père semble bien s’entendre avec. « Ce petit morveux s’était taillé chez les flics. » « Tu veux mon avis ? Tu le corrige pas assez. Quelques bons coups de ceinture, ça devrait lui passer l’envie de se barrer. »

Les parties en spoiler pourraient heurter la sensibilité des plus jeunes. (On sait jamais, je voudrais pas blesser les âmes sensibles. Wink)
Spoiler:



Le jeune garçon tend les quelques pièces au commerçant. Ce dernier le regarde, un instant. « Il en manque. » L’adolescent se mord les lèvres. Son père ne lui a rien donné d’autre. Il pose le paquet de pâtes et les deux pommes sur le comptoir, puis il ôte son débardeur trop grand pour lui, craqué et un peu déchiré, révélant au passage son corps maigre et parsemé de quelques bleus. Il tend le bout de tissu au marchant, espérant que ça va suffire. L’homme le regarde, fronce les sourcils et secoue négativement la tête. « Ecoute, gamin, c’est pas tes fringues, que je veux. On ne fait pas du troc. Ce que je te demande, c’est de l’argent. Alors si t’as pas de quoi payer, tu laisse ça là et tu te casse. » Le jeune se mord les lèvres, cherchant à retenir ses larmes. Parce qu’il sait que son père ne lui donnera pas plus, et que, du coup, il n’aurait rien à manger pour la semaine. Ou pas grand-chose, s’il arrive à trouver quelque chose au fond d’une poubelle. Et encore. Il sait que ça ne suffira pas. Qu’il ne survivra pas à son père et ses amis avec seulement une moitié de hamburger dans le ventre pour la semaine. « Attendez, je m’en charge. » Le jeune garçon lève ses yeux profondément cernés, adressant un regard reconnaissant à l’homme qui venait à son secours. Il renfile son débardeur, et attrape timidement ses affaires. « Eh, attends ! Viens ! » Il le regarde, un instant, avant de trottiner vers lui, et de l’accompagner à la sortie du magasin. Il le suit jusqu’à un camion, et grimpe sans poser de question sur la place du passager. Il le regarde, un peu intrigué. Parce qu’il n’a aucune idée de ce que ce routier pourrait lui faire, et parce qu’il ne comprend même pas pourquoi il l’a pris sous son aile au supermarché, ni même pourquoi il lui tend un morceau du sandwich qu’il s’est acheté. « Dis-moi, c’est quoi, ton nom ? » L’adolescent le regarde, sans rien dire. Il l’observe, simplement. Il devait avoir le double de son âge, environ. Un peu moins, peut-être. « Eh, tu ne sais pas parler, ou quoi ? T’es sourd ? » Le gamin hoche négativement la tête. Non, non, il n’est pas sourd. Il ne comprend pas toujours ce qu’on lui dit, c’est vrai, mais il n’est pas sourd. « … Je … » Sa propre voix le surprend. Eraillée. Inutilisée. Elle lui fait mal à la gorge, cette voix. Elle n’est pas habituée à articuler des syllabes. Seulement des cris. Le routier le regarde, attendant la suite. Et il semble comprendre que le gamin n’y arrivera pas. Alors, il lui tend un papier avec un crayon, dans l’espoir que peut-être, il y parviendra. Le gamin avale le dernier morceau de son sandwich, attrape doucement ce qu’on lui donne, s’appuie sur le tableau de bord du véhicule, et, maladroitement, après avoir essayé de tenir le crayon du mieux qu’il pouvait, il écrit, difficilement, lettre par lettre, son prénom. Ce n’est pas très facile. Parce qu’il n’a pas l’habitude. « Heu … Tu t’appelles sérieusement Bambi, ou tu as inventé ? » Le gosse le regarde, désespéré. Bien sûr que non, qu’il n’invente pas. Pourquoi il inventerait ? C’est mal de mentir, n’est-ce pas ? « D’accord … Et tes parents, ils te laissent crever de faim, comme ça ? Ils ne s’occupent pas de toi, ou quoi ? » Il baisse la tête, soupire, et laisse son regard se perdre ailleurs, parce qu’il ne sait pas comment expliquer ça. Il n’a même pas envie de raconter ce qu’il y a, d’ailleurs. « Ils te font du mal ? » Le jeune baisse la tête. Oui, c’est un peu ça, quelque part. Mais c’est normal, non ? Après tout, ça a toujours été comme ça, alors … C’est que ce quoi être dans l’ordre des choses. « Ça te dirait de partir avec moi ? » L’adolescent le regarde, sans vraiment être certain de bien comprendre. Partir ? Mais pour quoi faire ? Et si son père le retrouve ? Il lui fera du mal, encore. De toute façon, qu’il ait fait quelque chose ou non, il lui fait toujours du mal. Et puis, sans qu’il ne comprenne vraiment pourquoi, la main du routier se retrouve sur sa cuisse. Un gémissement craintif s’échappe d’entre les lèvres du jeune garçon, qui cherche à se reculer. « Eh … Pas de panique, je ne veux pas te faire de mal … » Ses lèvres se retrouvent contre les siennes, sans qu’il ne sache pourquoi. Il sent la main de l’homme qui se glisse sous sa nuque. Il hésite un peu, avant d’essayer maladroitement de bouger les lèvres, à son tour. Il ne comprend pas pourquoi il fait ça. Pourquoi il se montre si doux. L’homme ne lui arrache pas son débardeur. Il l’ôte simplement, tendrement. Et il lui murmure son prénom tout doucement dans l’oreille. « Bambi … »


Spoiler:

Les gémissements de panique retentissaient dans toute la cabine. Il lui faut un moment avant de se souvenir de ce qui c’était passé la veille. Avant de comprendre où il se trouve. Maladroitement, il avance vers l’avant du camion. Lorsqu’il ouvre les rideaux, il se rend compte que la route défile sous ses yeux. « Eh, t’es réveillé, toi ! Bien dormi ? » Il pousse à nouveau des cris plaintifs. Il essaye d’ouvrir la portière, mais la main de l’homme le retient. « Eh, calme-toi ! On est juste sur la route ! Tu ne vas pas sauter, quand même ! T’es cinglé ou quoi, Bambi ? » L’adolescent finit par s’asseoir sur le siège passager. Il regarde à travers le pare-brise, pas très rassuré. « T’as faim ? On peut s’arrêter pour que t’aille déjeuner, si tu veux. » Le jeune homme le regarde, avant de répondre par quelques hochements de tête. Manger … C’était quelque chose dont il avait besoin. Et si on lui proposait … Qui sait, l’occasion ne se représenterait peut-être pas. « Attends, c’est trop facile, de juste hocher la tête. Essaye de dire oui, pour voir. Dis oui, aller. » Il le regarde, et ouvre la bouche sans émettre un son. L’autre l’encourage d’un mouvement de tête. « Ou … Oui … »



Un regard inquiet passe sur le regard du jeune lorsque le camion s’arrête sur le bord du trottoir. Il regarde l’autre, soudainement conscient qu’il ne cèderait pas. « Lou, je suis désolé, mais tu descends là. » Le jeune homme pousse des gémissements plaintifs. Il essaye de s’accrocher à celui qui l’a protégé pendant ces trois dernières années. « Arrête de brailler comme ça, tu sais parler. » Le jeune pince les lèvres. Il sait. Il sait que ça dérange David quand il ne s’exprime plus que par des cris. Il l’a forcé à parler, parce qu’il trouvait ça flippant, de ne le voir s’exprimer que par des gémissements ou des mouvements de tête. Il dit que ça fait peur aux clients, aussi. Tout comme le prénom Bambi. C’est la raison pour laquelle il avait décidé que maintenant ce serait « Lou », et rien d’autre. D’après David, c’est moins effrayant. Mais l’ado ne veut pas partir. Il lui doit tout. En échange des quelques services qu’il lui rendait et de l’argent qu’il ramenait après avoir donné son corps aux autres, David l’éduquait. Il lui avait appris à lire, convenablement. A parler, à entraîner sa voix à articuler des syllabes. Des phrases. Ecrire, aussi. Compter. Il le nourrissait. Il lui apprenait les petits plaisirs de la vie. La drogue. L’alcool. L’amour. Alors, pour ça, il ne voulait pas le quitter. « Mais pourquoi ? » C’est vrai, ça, pourquoi est-ce qu’il ne veut plus de lui ? Pourquoi, hein ? L’autre baisse la tête, et lui tends son sac d’affaires. Le jeune homme le prend, sans rien dire. « Tu trouveras de quoi faire ta vie ici. Je t’ai laissé un peu d’argent. Allez, va-t’en. » « Nan ! Nan, je veux pas que tu me laisse ! J’ai pas envie de vivre ici ! Je veux pas que tu … que tu m’abandonne, comme ça … » Il le regarde. Il plaisante, c’est ça ? Il va le reprendre, n’est-ce pas ? Il ne peut pas le laisser comme ça, ce n’est pas possible. « Qu’est-ce que je t’ai fait, hein … ? » Ses yeux brillent, tandis qu’il lève la tête vers David. L’homme ferme la porte, et remonte la vitre. Le camion démarre, et commence à s’éloigner. Le jeune homme le regarde partir, avant de courir après en hurlant. Il n’arrive pas à retenir ses larmes. Il le laisse là, comme ça. Sans raison. Comment peut-il ? Comment est-ce qu’il peut lui faire ça, hein ? Ce n’est pas humain. Ce n’est pas possible …

Alors qu’il passe les portes de l’hôtel, tentant misérablement de remettre son débardeur correctement, il ne peut se retenir de soupirer. Voilà dans quoi David l’avait abandonné, il y a de cela trois années. A Hollywood, avec à peine cinq cents dollars. Le jeune homme ne peut se retenir de donner un coup de pied rageur dans une canette. Au passage, c’était étonnant qu’elle soit encore là, d’ailleurs. Il avait beau avoir posé le problème dans tous les sens, il n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi il l’avait laissé dans cette machine à fric. Il avait rapidement compris qu’il ne survivrait pas à la ville sans rien faire. Alors, il avait commencé à exercer la seule et unique chose qu’il savait faire pour obtenir un peu d’argent. Vendre son corps. Et enchaîner, enchaîner les clients. Il se passe une main dans ses cheveux mal coiffés, et soupire à nouveau, fatigué. Il n’y éprouve même plus un véritable plaisir. Avec David, au moins, l’argent qu’il ramenait lui rapportait toujours une récompense. Alors qu’ici, ce qu’il faisait semblait mal vu. Ça lui avait déjà attiré quelques problèmes, d’ailleurs. Alors, il avait appris à essayer de fuir ces bandes qui ne lui inspiraient pas confiance, et qui semblaient juste vouloir le prendre sans rien en échange. Même si prendre la fuite s’avérait souvent sans grand succès. Ils finissaient toujours par le coincer quelque part. Avec David, il n’avait jamais eu ce genre de soucis. Les routiers l’acceptaient généralement sans méchanceté aucune. Et au pire, si ça dégénérait, il y avait toujours David pour le tirer de là. Alors que là … Ce n’avait jamais été le cas. Il avait beau hurler son prénom, il ne venait pas. Jamais. La seule source de plaisir qu’il arrivait à trouver, dans cette situation, c’était en sniffant sa poudre blanche. Ça l’aidait à oublier. Oublier ô combien misérable il était. Il soupire, et se laisse choir le long d’un mur. Il vient souvent ici. Il y a beaucoup de gens qui s’arrêtent. Souvent. Pour lui, ou pour d’autres. Mais il trouvait généralement de quoi se faire assez d’argent pour la journée. Il relève la tête vers la grosse berline noire qui s’arrête à sa hauteur. Il se lève, et s’approche de la vitre qui s’abaisse. « Combien ? » « Soixante dollars. » Il se mord les lèvres, espérant que l’autre ne refusera pas. Ils refusent rarement, de toute façon. « Quarante. » « D’accord. » « Monte. » Le jeune home attrape la poignée, et se glisse dans l’habitacle. Il ne cherche même pas à marchander. Il ne peut pas se permettre de faire le difficile, de toute façon …

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